Bonjour,
Suite à de nouvelles directives, le règlement des concours "spécial 3" et "Golden 3" a changé, ou plutôt régressé.
Un groupe s'est constitué, notamment sur FaceBook : "touche pas à mon 3", que vous pouvez rejoindre.
Les agilitistes en 1er et 2ème degré sont concernés également, puisque un jour, on leur souhaite, il iront en 3.
Il est donc demandé à tous les agilitistes de France qui partagent ce désacord, imprimer le texte suivant, de le signer et de l'envoyer à M métans :
Adresse postale:
Jean Claude METANS
Les Couestes
750 avenue Léon Amic
83390 Cuers
Monsieur,
Il y a quelques temps, la SCA (Section Compétition Agility) était créée sous l’initiative d’Olivier Adyns et Linda Bourasse. Cette section, dépendant directement du GTA, avait pour mission de promouvoir l’agility de haut niveau, le 3ème degré, de coordonner les rencontres « spécial 3 » et, plus récemment, le Golden 3. La première édition organisée à Saint Etienne cette année, a rencontré un unanime et franc succès.
Dernièrement, suite à la réunion de la CNEAC du 13 novembre 2013, on apprend presque par hasard, puisque le rapport de cette réunion n’est pas encore rendu public, que le cahier des charges pour l’organisation de concours a changé et que bon nombre de ses modifications concerne les rencontres « spécial 3 ». Nous ne comprenons pas :
- Pourquoi un concours spécial 3 doit être jugé par un juge français ? Et pourquoi pas par un juge étranger comme on en a la possibilité sur tous les autres concours ?
- Pourquoi le club organisateur d’un spécial 3 ne peut plus organiser un autre concours le même week-end alors qu’il peut organiser deux concours classiques le même week-end ?
- La SCA veillait jusqu’à présent à la bonne coordination et synchronisation des concours
« spécial 3 ». Pourquoi cette mission est-elle revenue entre les mains du secrétaire de la
CNEAC ?
- Pourquoi l’organisation générale du rassemblement national spécial 3ème degré (appelez-le Golden 3 ou autrement) est retirée des mains de ceux qui en sont à l’initiative pour être confiée au responsable du groupe « Grands évènements & communication » ?
- Pourquoi le choix des juges pour le Golden 3 n’est-il pas laissé à la SCA ou au club organisateur ? Les choix faits par ces derniers en 2013 à ce sujet ont fait l’unanimité. De mémoire d’agilitiste, jamais un jury n’avait été acclamé aussi fort et aussi longtemps pendant la remise des prix.
Ceux qui étaient là s’en souviennent forcément.
Avez-vous écouté les souhaits des compétiteurs avant de prendre ces décisions ? Car elles sont peut-être déjà, sans le savoir, contraire à leurs souhaits.
Vu d’en bas, nous avons l’impression que toutes les bonnes idées proposées par la SCA pour faire avancer et progresser l’agility sont balayées et mises au placard, au même titre que leurs deux principaux instigateurs. Avec ces nouvelles dispositions, nous avons le sentiment que vous souhaitez revenir à une agility d’il y a 20 ans, celle où les chiens marchaient au pied de leur maître, plus par servitude que par plaisir.
Le mouvement « Touche pas à mon 3 » n’est pas une initiative d’Olivier, de Linda ni de Renaud, c’est un regroupement spontané et solidaire d’agilitistes qui ne comprennent pas pourquoi les décisions prises par la CNEAC vont à l’encontre de leurs souhaits.
Aujourd’hui, l’Agility Française a besoin d’une mise à niveau, d’une évolution vers le haut-niveau, pour aller vers un « AGILITY POUR TOUS » et non d’un retour en arrière.
C’est pourquoi, la quasi-totalité des compétiteurs de haut niveau se met en grève et n’assurera plus de BER ni de monitorat tant que les points concernant les rencontres spécial 3, le Golden 3 et la SCA ne seront pas rediscutés. Pourquoi ces intervenants continueraient à œuvrer bénévolement pour faire progresser l’agility française si ce n’est pas la volonté de la CNEAC ?
Nous sommes une grande famille, on aimerait que nos pères nous entendent et nous comprennent.
Suite à de nouvelles directives, le règlement des concours "spécial 3" et "Golden 3" a changé, ou plutôt régressé.
Un groupe s'est constitué, notamment sur FaceBook : "touche pas à mon 3", que vous pouvez rejoindre.
Les agilitistes en 1er et 2ème degré sont concernés également, puisque un jour, on leur souhaite, il iront en 3.
Il est donc demandé à tous les agilitistes de France qui partagent ce désacord, imprimer le texte suivant, de le signer et de l'envoyer à M métans :
Adresse postale:
Jean Claude METANS
Les Couestes
750 avenue Léon Amic
83390 Cuers
Monsieur,
Il y a quelques temps, la SCA (Section Compétition Agility) était créée sous l’initiative d’Olivier Adyns et Linda Bourasse. Cette section, dépendant directement du GTA, avait pour mission de promouvoir l’agility de haut niveau, le 3ème degré, de coordonner les rencontres « spécial 3 » et, plus récemment, le Golden 3. La première édition organisée à Saint Etienne cette année, a rencontré un unanime et franc succès.
Dernièrement, suite à la réunion de la CNEAC du 13 novembre 2013, on apprend presque par hasard, puisque le rapport de cette réunion n’est pas encore rendu public, que le cahier des charges pour l’organisation de concours a changé et que bon nombre de ses modifications concerne les rencontres « spécial 3 ». Nous ne comprenons pas :
- Pourquoi un concours spécial 3 doit être jugé par un juge français ? Et pourquoi pas par un juge étranger comme on en a la possibilité sur tous les autres concours ?
- Pourquoi le club organisateur d’un spécial 3 ne peut plus organiser un autre concours le même week-end alors qu’il peut organiser deux concours classiques le même week-end ?
- La SCA veillait jusqu’à présent à la bonne coordination et synchronisation des concours
« spécial 3 ». Pourquoi cette mission est-elle revenue entre les mains du secrétaire de la
CNEAC ?
- Pourquoi l’organisation générale du rassemblement national spécial 3ème degré (appelez-le Golden 3 ou autrement) est retirée des mains de ceux qui en sont à l’initiative pour être confiée au responsable du groupe « Grands évènements & communication » ?
- Pourquoi le choix des juges pour le Golden 3 n’est-il pas laissé à la SCA ou au club organisateur ? Les choix faits par ces derniers en 2013 à ce sujet ont fait l’unanimité. De mémoire d’agilitiste, jamais un jury n’avait été acclamé aussi fort et aussi longtemps pendant la remise des prix.
Ceux qui étaient là s’en souviennent forcément.
Avez-vous écouté les souhaits des compétiteurs avant de prendre ces décisions ? Car elles sont peut-être déjà, sans le savoir, contraire à leurs souhaits.
Vu d’en bas, nous avons l’impression que toutes les bonnes idées proposées par la SCA pour faire avancer et progresser l’agility sont balayées et mises au placard, au même titre que leurs deux principaux instigateurs. Avec ces nouvelles dispositions, nous avons le sentiment que vous souhaitez revenir à une agility d’il y a 20 ans, celle où les chiens marchaient au pied de leur maître, plus par servitude que par plaisir.
Le mouvement « Touche pas à mon 3 » n’est pas une initiative d’Olivier, de Linda ni de Renaud, c’est un regroupement spontané et solidaire d’agilitistes qui ne comprennent pas pourquoi les décisions prises par la CNEAC vont à l’encontre de leurs souhaits.
Aujourd’hui, l’Agility Française a besoin d’une mise à niveau, d’une évolution vers le haut-niveau, pour aller vers un « AGILITY POUR TOUS » et non d’un retour en arrière.
C’est pourquoi, la quasi-totalité des compétiteurs de haut niveau se met en grève et n’assurera plus de BER ni de monitorat tant que les points concernant les rencontres spécial 3, le Golden 3 et la SCA ne seront pas rediscutés. Pourquoi ces intervenants continueraient à œuvrer bénévolement pour faire progresser l’agility française si ce n’est pas la volonté de la CNEAC ?
Nous sommes une grande famille, on aimerait que nos pères nous entendent et nous comprennent.